Le mois de Ramadan qui est temps fort, très sollicité par la communauté musulmane. Il est également un mois où il y a plus de peur dans les ventres. La vie devient extrêmement chère. Le panier de la ménagère maigrit. Le mois de Ramadan dans notre pays est forcement synonyme de cherté. Et cette année ne fait pas exception aux années antérieures. La crainte est justifiée par la montée du prix des denrées de première nécessité.
Les responsables en charge du commerce et de la concurrence s’évertuent à éviter la pénurie sur les marchés. Cependant, ils n’ont jamais réussi à maîtriser les prix.
Cette année-là, le prix du lait, du sucre, de l’huile, de l’oignon, la pomme de terre sont élevés selon les endroits. A cela s’ajoute d’autres types de difficultés : le poids demeure à contrôler. C’est le cas du gingembre, base d’une boisson très convoitée pour la rupture du jeune. En tout état de cause, des difficultés demeurent dans nos marchés pendant ce mois au point qu’on s’interroge à qui profite cette complication des prix ? Quand la maitrise des prix tant attendue adviendra-t-elle ?
Mohamed.T
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